La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
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Après sa longue hospitalisation, Joséphine Baker reprend en Afrique du Nord en 1943 ses galas et concerts avec le même objectif caritatif envers les militaires au front et les populations sinistrées. Par ce courrier, le délégué général de la Croix-Rouge française en Algérie annonce un concert de la chanteuse à l'Opéra d'Alger le 11 juin 1943 au profit de la Maison famiale de l'enfance.
© Service historique de la Défense Droits réservésEngagée volontaire dans l'Armée de l'Air depuis mai 1944, Joséphine Baker continue avec l'accord de sa hiérarchie à se produire sur scène à des fins philanthropiques ou caricatives. Par cette note du 9 novembre 1944, le directeur du cabinet du ministre de l'Air autorise l'artiste à "prêter son concours à la soirée au profit des Prisonniers de guerre qui aura lieu le 28 novembre 1944 à la Comédie Française".
© Service historique de la Défense Droits réservésDurant la Drôle de guerre, Joséphine Baker effectue plusieurs tournées pour motiver les troupes. Sur cette photographie, elle se trouve auprès d'aviateurs du Groupe de Chasse I/2, héritier de la légendaire escadrille des Cigognes au sein de laquelle Guynemer s'est illustré durant la Première Guerre mondiale.
© Service historique de la Défense Droits réservésEn tant que vedette de music-hall, Joséphine Baker fréquente la haute société parisienne, composée de ministres et diplomates étrangers. Cela lui permet de recuellir de précieux renseignements notamment auprès de l’attaché militaire de l’ambassade d’Italie, qui lui fournit des renseignements sur l’armée italienne dans les Balkans.
La photographie présentée ici est non datée et présente donc un caractère uniquement illustratif.
Basil Serban, Jeannot, Aba, dirigeant FTP-MOI pour les régions marseillaise et lyonnaise.
© Service historique de la Défense Droits réservésProposition de citation à l'ordre de la division au nom de Jean Halpern.
Juif polonais réfugié en France, Jean Halpern s’engage dans la lutte armée au sein des FTP en prenant la direction des groupes de combat affiliés à l’Union de la Jeunesse juive à Grenoble et à Lyon.
Membre actif du Parti Communiste clandestin, Joseph Kutyn est l'un des fondateurs et le premier chef du bataillon Carmagnole. Arrêté en mars 1943 à Saint-Etienne, il est déporté à Auschwitz d'où il reviendra en mai 1945.
© Service historique de la Défense Droits réservésCertificat d'appartenance aux Forces françaises de l'intérieur délivré à Sifra Haham le 9 mai 1950.
© Service historique de la Défense Droits réservésAttestation délivrée en faveur de Joseph Steinbaum par le commandant Duvernois, ex-chef régional AS, et Maurice Benadon, responsable militaire des groupes de combat de l'UJRE de Lyon-ville, le 19 mars 1947.
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