Mediathèque

La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.

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La spécificité juive du peloton bleu-blanc

Dans cet extrait, Henri Broder, adjoint au commandant du peloton bleu-blanc, revient sur la spécificité juive de cette formation. Il est interviewé par Fania Perez le 14 décembre 1993.

© United States Holocaust Memorial Museum  Droits réservés
Léon Neugewurtz (Léon Nisand)

Dans cet extrait, Léon Nisand revient sur les suites de l'attaque du train entre Mazamet et Labruguière le 19 août 1944 et sur les propos tenus face aux prisonniers allemands. Les maquisards défilant devant ceux-ci en déclamant "Ich bin Jude !".

© Marianne / De la prod  Droits réservés
Frédéric Hammel

Carte d'identité de Frédéric Hammel

© Yad Vashem   Droits réservés
Edouard Kovarsky

Fausse carte d'identité d'Edouard Kovarsky établie au nom d'André Costes.

© Mémorial de la Shoah, Paris (France)  Droits réservés
L'Armée juive

Quand-Même, journal clandestin lancé à Toulouse par l'Armée juive en décembre 1943.

© Mémorial de la Shoah, Paris (France)  Droits réservés
Meyer Sal

Fausse carte d'identité de Meyer Sal établie au nom de Jean Jissel.

© Collection Reine Esther Sal  Droits réservés
Le maquis de l’Espinassier

Patricia Graff-Rubel au premier rang et de gauche à droite : Jean-Jacques Fraicent (Frayman), Jacques Lazarus (Jacquel), Henri Broder, Pierre Loeb et Albert Cohen. Cette photographie a été prise au maquis de l'Espinassier lors d'une tournée d'inspection de Jacques Lazarus en mai 1944.

© Mémorial de la Shoah, Paris (France)  Droits réservés
Le maquis de Biques

Une ferme abandonnée à Biques dans le Tarn devient l'emplacement du maquis M7 bis de l'Armée juive.

© Mémorial de la Shoah, Paris (France)  Droits réservés
Du maquis de Rec à la création d’un maquis juif autonome

En décembre 1943, Raoul Léons adresse un rapport à la direction de l’Armée Juive (AJ) à Toulouse dans lequel il expose « l’utilisation des effectifs AJ dans les maquis des mouvements unis de la Résistance ». Ce rapport fait suite à l’arrivée au maquis de l’Armée secrète de Rec de recrues de l’Armée juive afin d’y suivre un entraînement militaire et conclut que la « création d’un centre indépendant est la meilleure solution ».

© Mémorial de la Shoah, Paris (France)  Droits réservés
Henri Broder

Membre de l'Armée juive depuis janvier 1943, Henri Broder rejoit le maquis de Biques dans le Tarn en janvier 1944 et y devient l'adjoint de Pierre Loeb. Après l'intégration des maquis de l'AJ au sein du Corps franc de la Montagne noire le 6 juin 1944, Henri Broder devient adjoint au chef de peloton. C'est au sein du "peloton Trumpeldor" qu'il prend part aux combats de la Libération.

© Mémorial de la Shoah, Paris (France)  Droits réservés