La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
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Fernand Belino est incarcéré à la Maison centrale d’Eysses (Lot-et-Garonne) le 16 octobre 1943. Suite à un arrêté d’internement administratif signé par le préfet régional de Toulouse le 11 novembre 1943, il est transféré au centre de séjour surveillé de Noé (Haute-Garonne) le 16 novembre 1943.
© Archives départementales de la Haute-Garonne Droits réservésExtrait du registre des événements survenus au camp de Nexon (Haute-Vienne) à la date du 24 novembre 1943.
© Archives départementales de la Haute-Vienne, 1621W10 Droits réservésFiche établie lors de l'arrivée de Fernand Bélino au camp de Nexon (Haute-Vienne) le 24 novembre 1943.
© Archives départementales de la Haute-Vienne, 1621W6 Droits réservésLa mosaïque a été dévoilée lors de la cérémonie de « baptême » du stade nautique le samedi 19 avril 1980 en présence de Gilbert Bonnemaison, maire d’Epinay-sur-Seine de 1967 à 1995. Il prit le nom de « Stade nautique Fernand Bélino ». La mosaïque fut exécutée par l’atelier Lazaretto d’après un dessin de Boris TASLITZKY (1911-2005), peintre réaliste socialiste et ami de déportation de Fernand Bélino. Elle rappelle qu’il aimait les arts, le travail, la vie et surtout la liberté.
© Archives municipales d'Epinay-sur-Seine Droits réservésA l'origine, cette stèle était située au lieu du décès, quai du Génie à Herblay ; elle a été transportée dans le cimetière d'Herblay pour la protéger de dégradations volontaires successives. Elle rend hommage aux résistants Henri Muller, Hubert Pradel et Maurice Froger assassinés par les Allemands le 28 août 1944.
© Collection André Froidure Droits réservésA l'origine, cette stèle était située au lieu du décès ; elle a été transportée dans le cimetière d'Herblay pour la protéger de dégradations volontaires successives. Elle rend hommage à Georges Limborg, tué au combat le 27 août 1944.
© Collection André Froidure Droits réservésRobert Chabot ici debout à droite, près de la caserne Clignancourt de Paris, avant son départ sur le front de l'Est au 2e régiment d'infanterie coloniale, automne 1944
© Association Libération-Nord Droits réservésStèle en mémoire du chef régional du réseau CND Castille Maurice Tardat, déporté et mort à Buchenwald le 23 mai 1944, située au cimetière de l'Est, 139, rue Larevellière, à Angers
© Cliché Joseph Ripoche Droits réservésPlaque en mémoire des agents et fonctionnaires des musées nationaux morts pour la France, située dans le musée du Louvre, Paris Ier
© Collection Claude Richard Droits réservésMarie Hackin, archéologue, résistante de la première heure avec son époux Joseph, organisatrice du corps féminin de la France libre et l'une des six femmes faites Compagnon de la Libération
© Musée de l’Ordre de la Libération Droits réservés