La libération d’une localité n’est assurée qu’à la condition que l’occupant ne soit plus en mesure d’y reprendre pied. Ce qui est généralement le cas avec l’arrivée des Alliés.
Pour avoir mésestimé la réaction de l’ennemi, des tentatives échouent à Valence et à Romans.
Il arrive que les maquis locaux règlent le sort de petites garnisons isolées en pays hostiles et souvent démoralisées. Connaissant le poids des exactions qu’ils ont commises, les Allemands cherchent à prolonger leur résistance parce qu'ils considèrent les résistants comme des francs-tireurs, des terroristes, dont on leur a dit qu'ils ne leur feraient pas de cadeau, et qu'ils veulent se rendre à l’armée régulière états-unienne.