La base média constitue « la collection virtuelle » du Musée de la Résistance en ligne. Elle réunit des documents de tous types appartenant à une multitude de fonds publics et privés.
Chaque document inventorié est accompagné de sa notice explicative.
Un moteur de recherche performant (recherche simple ou croisée) permet à l'utilisateur d'utiliser la base de données selon ses propres critères.
ATTENTION : les documents (photographies, archives, films...) utilisés ont fait l'objet de conventions avec leurs détenteurs et ne peuvent être utilisés par une tierce personne sans leur accord. Les coordonnées des détenteurs des documents sont mentionnées sur chaque notice.
Fausse carte d'identité d'Edouard Kowarsky établie au nom d'André Costes.
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésFausse carte d'identité de Meyer Sal établie au nom de Jean Jissel.
© Collection Reine Esther Sal Droits réservésEntre le 4 juin 1944, date de son homologation par Londres, et le 8 août 1944, date à laquelle il est investi par les troupes allemandes, le terrain "Virgule" a permis la réception de 6 (ou 7 selon les sources) parachutages de matériel et d’hommes. Il était placé sous la surveillance de la compagnie Marc Haguenau.
Photographies anthropométriques des frères Claude et Edmond Lévy, Toulouse, 9 décembre 1943
© Archives départementales de la Haute-Garonne Droits réservés1ère de couverture de ce livre publié à compte d’auteur. Mme Chazalmartin a ajouté préface et postface aux écrits originaux de son mari.
© Coll. Alain Martinot Droits réservésSituée sur la D 637, la Voie de la Liberté matérialise la route empruntée le 3 août 1944 par le Combat Command B (groupement tactique interarmes) de la 4th US Armored Division dans le cadre du contournement tactique de Rennes.
Droits réservésCarte d'identité dite des étrangers délivrée à Eidel Chana Geiger en novembre 1937 par le préfet de la Moselle et renouvelée à La Rochelle pour la période du 21 juin 1940 au 21 juin 1943.
© Archives d'Etat de Genève Droits réservésAdhérent du Mouvement de jeunesse sioniste en novembre 1943, Jean Brauman rejoint le maquis de l’Espinassier au printemps 1944 et prête serment à l'Armée juive. Au 6 juin 1944, son maquis devient le peloton bleu-blanc du 4e escadron du Corps franc de la Montagne noire. Après l'attaque allemande du 20 juillet 1944, l'unité est dispersée et Jean brauman revient à Toulouse. Repéré, il est envoyé à Lyon où il intègre le corps-franc du CADJJ (Comité d'action et de défense de la jeunesse juive).
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésLe 1er juin 1944, un accord intervient entre les EIF et l’Armée juive (AJ), en vertu duquel l’autorité militaire est confiée à l’AJ devenue OJC, Organisation juive de combat.
© Mémorial de la Shoah, Paris (France) Droits réservésFausse carte d'identité de Max Weinstein établie au nom de Max Chevalier.
Jeune recrue de l’Union de la jeunesse juive à Lyon en septembre 1943, Max Weinstein s’engage dans la lutte armée au sein des FTP. Après la guerre, il prend une part active à la diffusion de la mémoire des résistants juifs issus de la Main d’œuvre immigrée.
© Archives privées Max Weinstein Droits réservés